Compte rendu du rendez vous avec M. Hildebrand
dimanche 11 février 2007, 10h15
Ce qu’il reste à faire
Trouver un nom de projet : je pense que EauMauri va à tout le monde !!!
Chercher en priorité un contact sur place sans quoi rien n’est possible. Partir seul en Afrique n’est pas facile. Il est nécessaire d’avoir quelqu’un qui connaisse les coutumes… Pour cela regarder :
Les associations en Mauritanie
Contacter les ministères
Préfectures…
Se renseigner sur les voyages pour la Mauritanie :
Avion (à réserver 6 mois à l’avance) Prix approximatif : 700 euros
Voiture (route d’assez bonne qualité)
Il y a deux origines aux financements :
Origines européennes : conseil général, régional (service action transfrontalière qui aide les pays émergents (attention il faut un dossier très bien ficelé et la durée d’attente dépasse souvent 1 an)
La CAF sous commission jeune
Les banques
La mairie
Ministère des affaires étrangères (M. Hildebrand connaît la personne à contacter. Lui demander le numéro au besoin)
Ministère jeunesse et sport avec les défis jeunes, le concours engagement…
Origines africaines : les gouvernements et consulats africains sont très succeptibles de nous aider financièrement. Il ne faut pas avoir peur de leur demander sous prétexte qu’ils sont « pauvres »
Faire un projet axer sur la recherche de financement c’est-à-dire :
Montrer que l’on est volontaire signifie s’engager également financièrement par exemple en payant une partie de son billet d’avion. Cela témoigne de sa volonté et les associations aiment ça.
Mettre en avant nos objectifs bien définis : notre aide répond à quel besoin en eau ?
Personnaliser le rapport en disant ce que ça nous a aussi apporté (humanisation du dossier) par exemple le voyage, la découverte d’une autre culture, une expérience professionnelle…
Dans le cadre de l’école organiser des soirées dans le but de récolter de l’argent (BDE, foyer, geol’entreprises : financement par défiscalisation…)
Dans le but de l’envoyer à CEFODE
Monter un prototype en France reste le meilleur moyen de montrer que notre distillateur fonctionne et ainsi convaincre facilement les associations de nous aider. Réfléchir si cela est faisable cet été. Eventuellement contacter l’IFREMER (http://www.ifremer.fr/francais/index.php)
Les constructions sont réaliser avec un sorte de torchis : le banko (http://www.la-borne.com/fifta/05banko.htm)
Nouveaux problèmes :
Comment va être partager l’eau ? En Afrique, ce sont les femmes qui souvent s’occupent des projets
Les ravitaillements actuels en eau par les camions citernes dépendent de qui (état, secteur privé…)
Amener les matériaux sur place : des associations font souvent des trajets et peuvent transporter nos matériaux. Voir également du coté de ASF (http://www.asf-fr.org/index.php?rq_pag=_pages%252Ffr%252Frub1%252Fdernieres_nouvelles.html)
Etanchéité de la maquette :
Relancer Amaury sur l’étuve
Voir des contacts qui sont dans la construction
Voir les méthodes de conception des serres ENSAIA
Budget prévisionnel précis (pour conseil général…)
Maquette
Distillateur grandeur nature (matériaux)
Voyage
Séjour sur place (8 euros par jour et par personne sont suffisants)
Investissement personnel
Penser aux frais divers qui permettent de « gonfler » de 300 euros le budget